Ce jeudi 23 février, de 18hr30 à 20hr30 au Lambic Restaurant, Lounge & Beer Shop à Port-Louis, la French Tech Maurice organise sa première rencontre d’information. Cet évènement a pour but de réunir les entrepreneurs et porteurs de projets innovants français de l’île Maurice.
La French Tech Maurice veut accéder à la future labélisation French Tech Hub. Cette initiative permettra aux acteurs français opérant sur le territoire mauricien d’être reconnus à travers le réseau French Tech mondial. Par conséquence, les entreprises et les projets de ces derniers bénéficieront d’une plus grande visibilité.

Le French Tech Visa.

Le French Tech Visa sera bientôt disponible. Ce visa sera destiné aux fondateurs de start-up, aux nouveaux talents et aux investisseurs du secteur technologique souhaitant rejoindre la France. De plus, il favorisera l’émergence des start-ups françaises en facilitant l’installation des entrepreneurs et investisseurs internationaux du secteur de la technologie.

Qu’est-ce que la French Tech ?

C’est une initiative créée fin 2013, soutenu par le gouvernement français, pour pousser les start-ups françaises vers le succès. L’idée est que les jeunes entreprises ont le pouvoir d’apporter une valeur économique au pays et de créer des emplois.
Cette organisation a également pour initiative de renforcer la lisibilité et la cohérence des actions publiques qui avantagent les start-ups.
La French Tech ne crée pas de nouvelle organisation ou de nouveaux outils publics. Elle apporte un financement et un soutien aux start-ups. En sus de cela, elle promeut ces jeunes entreprises auprès des décideurs, des investisseurs et des média en mettant l’accent sur leur dynamique et leur rôle pour l’économie, l’emploi ainsi que l’innovation.

Qui est concerné par la French Tech ?

Comme nous l’avons mentionné, la French Tech est dédiée exclusivement aux start-ups françaises qu’elle soit intégrées en France ou sur un autre territoire. Elle vise principalement les entrepreneurs mais aussi les investisseurs, les ingénieurs, les designers, les développeurs, les grands groupes, les associations, les medias, les opérateurs publics et les instituts de recherche qui s’engagent d’une façon ou d’une à la croissance des start-ups françaises locales comme internationales.